Joueuse de Tympanon
vue par Jean-Charles de Castelbajac
À l’orée de l’invisible
Dès que j'ai vu le « Tympanon de Marie-Antoinette », j'ai ressenti l‛émotion que provoquent les objets mystérieux, son histoire et son destin si intimement liés à celui de la Reine, de Vienne à Versailles où on lui offre huit ans avant son supplice, sa ressemblance avec elle, sa beauté, sa mécanique poétique...Cet automate diaphane, délicat et fragile se transforme en « le plus joli des fantômes ».
Mais le plus troublant est de le voir reprendre vie, réinterpréter les mélodies jouées dans l‛intimité de la souveraine il y a plus de deux siècles, alors cet automate diaphane, délicat et fragile se transforme en « le plus joli des fantômes ».L'objet
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