Intec : le premier institut de formation aux métiers du chiffre

90 ans d’expérience…

Depuis sa création, l'Intec met en œuvre et développe son savoir-faire dans la formation aux diplômes du cursus d'expertise comptable pour tous et partout. Les modalités d'enseignement proposées répondent à la fois à la diversité des élèves et aux exigences liées à l’époque : la formation initiale pour poursuivre ses études avant d'entrer dans la vie active ; l’alternance pour associer études et pratique professionnelle, quel que soit son âge ; la formation continue pour se former tout au long de la vie. La comptabilité continue d’être un métier d’avenir où tout est possible. Et gare aux idées reçues ! Examinons à la loupe les cinq lieux communs les plus courants.

1. L’expertise comptable serait un métier ennuyeux, paraît-il. Faux ! L’expert-comptable jongle avec des problématiques diverses, dans le domaine comptable mais aussi social, fiscal et juridique.
2. Il faut être bon en maths pour entrer dans les métiers du chiffres. Encore faux ! En comptabilité, pas de géométrie ni d'algèbre, mais de l'arithmétique : addition, division, multiplication et soustraction.
3. Comptable et expert-comptable, c’est pareil. Un troisième non ! Le comptable enregistre les opérations fiscales et effectue des déclarations fiscales. L’expert-comptable accompagne la direction dans de nombreux domaines. Leurs missions sont donc différentes.
4. L'expertise comptable est un univers d'hommes. Loin de là ! Aujourd’hui, 45% des stagiaires sont des femmes et la part de femmes experts-comptables inscrites au tableau de l'Ordre est de 26,47%, un chiffre qui ne cesse de croître.
5. L’expertise comptable est loin des innovations technologiques. Et bien non ! C’est au contraire un métier au carrefour des données, qui ne cesse d’utiliser la technologie, la dématérialisation et l’intelligence artificielle. Toutes ces technologies sont au service de la comptabilité et de l’innovation qui conduisent les experts-comptables à être au cœur des flux.

Quels sont les diplômés proposés par l’Intec ?

L’Institut national des techniques économiques et comptables propose un éventail de cursus diplômants et certifiants. L’objectif, à chaque niveau d’études, est de former des personnes capables de répondre aux défis du monde d’aujourd’hui, en particulier aux technologies de l’information qui, dans le secteur comptable comme dans bien d’autres, apparaissent désormais comme la pierre angulaire de toutes les évolutions à venir. Les formations de l’Intec sont reconnues par l’État, ce qui les rend d’autant plus compétitives sur le marché du travail.

• Diplôme de comptabilité et de gestion (DCG) et diplôme de gestion et de comptabilité (DGC)
• Diplôme supérieur de comptabilité et de gestion (DSCG) et diplôme supérieur de gestion et de comptabilité (DSGC)
• Licence Comptabilité, contrôle, audit
• Master Comptabilité, contrôle, audit
• 3 licences professionnelles : Comptabilité et gestion des associations ; Comptabilité et paie ; Responsable de portefeuille clients en cabinet d'expertise
• 5 certificats de spécialisation : Audit et contrôle légal des comptes ; Gestion des associations ; Comptabilité internationale ; Gestion comptable et financière des collectivités territoriales ; Audit des systèmes d’information

3 QUESTIONS À HUBERT TONDEUR, DIRECTEUR DE L’INTEC

Quelle est la place de l’Intec dans la sphère plus globale de l’expertise-comptable ?

La place de l’Intec est importante, car c’est à la fois un maillage territorial métropolitain, ultramarin et international francophone, et l’unique établissement du domaine à proposer toutes ses formations en présentiel, distanciel et alternance. Et cette année, quelques innovations notables avec de l’apprentissage en distanciel et un master Comptabilité-contrôle-audit (CCA) en anglais ! Tout cela en accompagnant nos auditeurs avec des outils pédagogiques propres, et en assurant un haut niveau quelle que soit la modalité de formation au travers d’un examen unique pour chaque filière.

Pourriez-vous nous donner un exemple de parcours d’élève au profil atypique ?

L’exemple du profil atypique, c’est l’auditrice qui a fait une formation artistique, en l’occurrence les beaux-arts, qui ne trouve malheureusement pas d’emploi stable et qui découvre la comptabilité au travers de différents petits boulots. Qui se prend au jeu et qui débute par un Diplôme de comptabilité et de gestion (DCG), puis réalise le master CCA pour travailler dans l’accompagnement au changement de système comptable.

Que diriez-vous à quelqu’un qui voudrait se lancer dans la comptabilité, mais qui aurait une tendance à l’hésitation ?

Disons que pour celui qui envisage d’aller au bout du parcours de formation, il aura accumulé des connaissances très diverses qui pourront ne pas le cantonner à la comptabilité. Une formation comptable de haut niveau, c’est du droit, du contrôle de gestion, de la finance, de l’audit, du management... et de la comptabilité ! Donc, le champ du possible est très large et les organisations ou entreprises d’accueil protéiformes. En conclusion, la formation comptable, c’est une ouverture qui permet à la fois de trouver rapidement une place sur le marché du travail et d’évoluer vers des postes à la fois très génériques comme très spécialisés.